MICHEL DELPECH – Vu d’Avion un soir -

29 janvier, 2016 | Non classé | tatavo | Pas encore de commentaires.
Posté dans 28 janvier, 2016 dans Non classé. Pas encore de commentaires
Posté dans 28 janvier, 2016 dans ART, PEINTURES. Pas encore de commentaires
Eugène Henri Paul Gauguin est né à Paris en 1848. Son père est Clovis Louis Pierre Guillaume Gauguin (1814-1851), un journaliste républicain au National1. Sa mère, Aline Chazal (1825-1867), était la fille de Flora Tristan et donc, selon certains auteurs, la petite-fille de Simón Bolívar et de Thérèse Laisnay. Elle descendait de propriétaires terriens espagnols d’Amérique du Sud et même, selon la légende, d’un vice-roi du Pérou1.
En 1891, Gauguin se rend à Tahiti, île qu’il imagine paradisiaque et primitive. L’artiste désire « vivre là d’extase, de calme et d’art ». Ses difficultés financières, ses préoccupations esthétiques et cette très baudelairienne « invitation au voyage » le poussent vers le lointain pour échapper à « cette lutte européenne après l’argent », pour être « libre enfin ».
Cette composition est typique des oeuvres peintes au début de son premier séjour dans le Pacifique, toiles qui montrent souvent des Tahitiennes occupées à de simples tâches quotidiennes. Ici, les lourdes silhouettes hiératiques ont chacune leur espace propre permettant l’enchaînement d’arabesques, dans une harmonie parfaitement orchestrée. Les visages dessinent un masque ou un profil assez indifférenciés mais empreints de mélancolie.
Gauguin manie sa ligne avec une parfaite sûreté, la fait élégante ou décorative. Par le choix d’attitudes un peu raides, il rythme la composition selon une mystérieuse et harmonieuse géométrie, réalisant ainsi ce qui semble être plus une scène de genre qu’un véritable double portrait. Une légère animation est créée à la fois par la discrète nature morte, presque monochrome, du premier plan, et par les rouleaux déferlant sur le lagon au fond, seulement suggérés par quelques rehauts de blanc.
Le peintre doit accorder à ce tableau une importance suffisante pour en réaliser une variante en 1892, Parau Api (Dresde, Staatliche Kunstsammlungen), où le paréo à fleurs remplace la stricte robe de mission de la femme de droite. Ces silhouettes contrastées sont influencées par les lignes synthétiques et les formes simplifiées de Manet que Gauguin admire tant. Mais surtout ces personnages, par leur graphisme puissant et leurs tons vifs, annoncent les effets colorés de Matisse.
n° 1 des tableaux vendus les plus chers du monde
N°1. Quand te maries-tu ? (1892) de Paul Gauguin :
Vendu 300 millions de dollars au Qatar en 2015
image: http://amytop.fr/images/vignette/262/1-quand-te-maries-tu-1892-de-paul-gauguin.jpg
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Posté dans 11 janvier, 2016 dans ENFANT, jeunesse, société. 2 commentaires.
Posté dans 13 octobre, 2010 dans societe.
Dans notre Société stressée, on oblige les enfants a traverser leur enfance au pas de course : Il ne faudrait pas qu’ils perturbent trop longtemps la vie de leurs parents .
Tout petit, on lui apprend à boire son biberon tout seul, en calant celui-ci sur l’oreiller, puis quelques mois plus tard, on exige de lui qu’il soit propre, qu’il parle, qu’il se conduise comme un grand
puis vers deux ans, il va à la maternelle pour déjà apprendre la vie en collectivité, on lui demande de s’enrôler dans un système où il ne developpera pas les dons qu’il peut avoir en lui. On lui demandera seulement de se fondre dans le groupe, de raisonner comme le groupe, Sortir du lot, ce sera difficile, on ne lui demande pas de penser, on l’incite à suivre le mouvement un point c’est tout. eu égard à la maitresse qui a bien de la patience !
Puis il y aura l’école primaire où curieusement, on lui donnera la liberté d’agir à sa guise en faisant fi des règles établies : il ne veut pas lire, il ne lira pas, il ne veut pas écrire, il n’écrira pas, il ne veut pas compter, il ne comptera pas, on ne lui demandera même pas de se taire par solidarité pour ceux qui veulent travailler. On ne lui donne aucune limite, aucun sens à ce qu’il vit à l’école. Bientôt il s’ennuie, et devient turbulent, on ne peut plus l’arrêter dans son délire. Il exige le pouvoir de se comporter comme les adultes, sur tous les plans.
Enfin, arrive le lycée, ou l’on accepte en vrac, ceux qui ont quand même appris quelque chose et ceux qui ne savent rien. Et là c’est la débandade, la vulgarité, le laisser aller, la violence non réprimée. On se demande pourquoi maintenir ces fauves dans le zoo : ils seraient sans doute mieux dans la jungle ! (sic la chanson de j. ferrat).
Puis cette faune se déchaine, et crée des émeutes, sitôt que quelque chose les indispose. Ce ne sont déjà plus des enfants, et pourtant ils se comportent comme des irresponsables, comme des sales gosses !
A trop vouloir faire progresser l’enfant rapidement, il devient sérieux dans un premier temps, pour subitement régresser, et revenir au stade premier, où il est irrécupérable !
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Posté dans 7 janvier, 2016 dans chanson. 1 commentaire
Posté dans 1 janvier, 2016 dans Non classé. 1 commentaire
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