la chanson est un art – JEAN FERRAT – « J’entends, j’entends  » et « un jour, un jour « Un jour pourtant, un jour viendra couleur d’orange Un jour de palme, un jour de feuillages au front Un jour d’épaules nues où les gens s’aimeront Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche.

LA CHANSON EST UN ART que certains considèrent comme mineur. Pourtant en trois ou quatre  minutes elle vous donne un aperçu  sur le sujet choisi par l’auteur : sur le grand amour, sur l’amour déçu, sur l’amour passion, ou encore sur la condition de la femme, qui vient tout juste de s’émanciper sur le continent européen, mais qui reste une lutte  en Afrique, ou en Asie.

En peu de mots, mais avec un langage imagé qui fait appel à l’émotion des auditeurs, la chanson rate rarement sa cible, compte tenu du talent de l’interprète, bien sûr .

Qu’en pensez-vous  ??

Il y a des chansons qui sont des poèmes, Jean Ferrat nous en a donné plusieurs exemples, en mettant dans son répertoire quelques oeuvres de LOUIS ARAGON qu’il sut mettre en musique :
 pour notre plus grand plaisir :

- Nous dormirons ensemble

- j’entends,j’entends

- que serais-je sans toi

- aimer à perdre la raison

- un jour, un jour

deux chansons parmi ces 5 poèmes d’ARAGON sont moins connues et sont magnifiques : en voici la teneur :

 

la chanson est un art - JEAN FERRAT  -

« J’entends j’entends… » Jean Ferrat, d’après un poème de Louis Aragon

Poème de Louis Aragon interprété par Jean Ferrat.

Paroles de J’entends, J’entends

Adaptation de jean ferrat sur un poème de Louis ARAGON

J’en ai tant vu qui s’en allèrent
Ils ne demandaient que du feu
Ils se contentaient de si peu

Ils avaient si peu de colère

J’entends leurs pas j’entends leurs voix
Qui disent des choses banales
Comme on en lit sur le journal
Comme on en dit le soir chez soi
Ce qu’on fait de vous hommes femmes
O pierre tendre tôt usée
Et vos apparences brisées
Vous regarder m’arrache l’âme
Les choses vont comme elles vont
De temps en temps la terre tremble
Le malheur au malheur ressemble
Il est profond profond profond
Vous voudriez au ciel bleu croire
Je le connais ce sentiment
J’y crois aussi moi par moments
Comme l’alouette au miroir
J’y crois parfois je vous l’avoue
A n’en pas croire mes oreilles
Ah je suis bien votre pareil
Ah je suis bien pareil à vous
A vous comme les grains de sable
Comme le sang toujours versé
Comme les doigts toujours blessés
Ah je suis bien votre semblable
J’aurais tant voulu vous aider
Vous qui semblez autres moi-même
Mais les mots qu’au vent noir je sème
Qui sait si vous les entendez
Tout se perd et rien ne vous touche
Ni mes paroles ni mes mains
Et vous passez votre chemin
Sans savoir que ce que dit ma bouche
Votre enfer est pourtant le mien
Nous vivons sous le même règne
Et lorsque vous saignez je saigne
Et je meurs dans vos mêmes liens
Quelle heure est-il quel temps fait-il
J’aurais tant aimé cependant
Gagner pour vous pour moi perdant
Avoir été peut-être utile
C’est un rêve modeste et fou
Il aurait mieux valu le taire
Vous me mettrez avec en terre
Comme une étoile au fond d’un trou

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Un Jour, Un Jour (Jean Ferrat)

LYRICS : Tout ce que l’homme fut de grand et de sublime Sa protestation ses chants et ses héros Au-dessus de ce corps et contre …

PAROLES DE UN  JOUR, UN JOUR

adaptation de Jean Ferrat d’un poème de Louis ARAGON

Tout ce que l’homme fut de grand et de sublime
Sa protestation ses chants et ses héros
Au-dessus de ce corps et contre ses bourreaux

A Grenade aujourd’hui surgit devant le crime
Et cette bouche absente et Lorca qui s’est tu
Emplissant tout à coup l’univers de silence
Contre les violents tourne la violence
Dieu le fracas que fait un poète qu’on tue
Un jour pourtant, un jour viendra couleur d’orange
Un jour de palme, un jour de feuillages au front
Un jour d’épaule nue où les gens s’aimeront
Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche
Ah je désespérais de mes frères sauvages
Je voyais, je voyais l’avenir à genoux
La Bête triomphante et la pierre sur nous
Et le feu des soldats porté sur nos rivages
Quoi toujours ce serait par atroce marché
Un partage incessant que se font de la terre
Entre eux ces assassins que craignent les panthères
Et dont tremble un poignard quand leur main l’a touché
Un jour pourtant, un jour viendra couleur d’orange
Un jour de palme, un jour de feuillages au front
Un jour d’épaule nue où les gens s’aimeront
Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche
Quoi toujours ce serait la guerre, la querelle
Des manières de rois et des fronts prosternés
Et l’enfant de la femme inutilement né
Les blés déchiquetés toujours des sauterelles
Quoi les bagnes toujours et la chair sous la roue
Le massacre toujours justifié d’idoles
Aux cadavres jetés ce manteau de paroles
Le bâillon pour la bouche et pour la main le clou
Un jour pourtant, un jour viendra couleur d’orange
Un jour de palme, un jour de feuillages au front
Un jour d’épaule nue où les gens s’aimeront
Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche

 

 

 

 

 

 

 

 


Archives pour la catégorie chansons

ANNE SYLVESTRE : DES CHANSONS QUI NOUS FONT REFLECHIR

    1. ANNE SYLVESTRE : DES CHANSONS  QUI NOUS FONT REFLECHIR dans chansons mqdefault
      VISIONNÉE

Anne Sylvestre – Un mur pour pleurer – Chanson française

Je cherche un mur pour pleurer
ha, ha, ha, ha, ha
Je cherche un mur pour pleurer
ha,ha,ha,ha,ha
On ne pleure plus, paraît-il
  On avale, tout, c’est facile
On ne dit plus rien
Lorsqu’on vous crache dessus
On reste serein, la colère
C’est mal vu
On est poli, poli
On tend son cul, merci merci
Je cherche un mur pour pleurer
HA,HA,HA,HA,HA
Je cherche un mur pour pleurer
ha,ha,ha,ha,ha
On ne s’aime plus, paraît-il
On dit que l’amour est fragile
On est très moderne,
On laisse sa liberté
Mais on fait les poches
Aussitôt le dos tourné
On est copain, copain
On ne se raconte rien, plus rien
Je cherche un mur pour pleurera,
ha, ha,ha, ha, ha
Je cherche un mur pour pleurer
ha, ha, ha, ha, ha,
On connaît tout par le journal
Mais les mots, ça ne fait pas mal
On est toujours plus ému
Par ce qui est loin
Mais on oublie la détresse
De son voisin
On est bistrot, bistrot
On ne se connaît pas trop, pas trop
Je cherche un mur pour pleurera,
ha,ha, ha,ha,ha,
Je cherche un mur pour pleurer
ha,ha, ha, ha, ha,
On mélange les accidents,
Les princesses et leurs prétendants
On ne dit plus rien
Lorsque des enfants ont faim
Mais on ouvre sa bourse
Pour sauver des chiens
On est toutou, toutou
On a bon cour, c’est tout, c’est tout
Je cherche un mur pour pleurer
ha, ha, ha, ha, ha
Je cherche un mur pour pleurer
ha,ha,ha,ha,ha
On ne pleure plus, paraît-il
On rigole, c’est plus facile
On n’écoute plus
Les poètes, les errants
On leur dit « Taisez-vous,
Vous n’êtes pas marrants. »
On est télé, télé
On est si fatigué de penser
Je cherche un mur pour pleurer
ha, ha, ha, ha, ha,
Je cherche un mur pour pleurer
ha ha, ha, ha, ha,
On va à la messe, au caté
Ou bien on bouffe du curé
Mais on chante en choeur
Il est né le divin enfant
On va tous ensemble au muguet
Quand il est blanc
On est païen, païen
Dieu reconnaîtra les siens, c’est bien
Je cherche un mur pour pleurer
ha,ha, ha, ha, ha
Je cherche un mur pour pleurer
ha, ha, ha, ha, ha,
On est toujours comme on n’est pas
Un jour c’est triste, un jour ça va
On essaye bien
Mais on n’a jamais le temps
On croit tenir la fleur
Mais on meurt mécontent
On est paumé, paumé
Et si on pouvait s’aimer, s’aimer
Etre ensemble pour pleurer
Avoir le temps de pleurer…

 

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les gens qui doutent – Anne Sylvestre

J’aime les gens qui doutent Les gens qui trop écoutent Leur cœur se balancer J’aime les gens qui disent Et qui se contredisent Et …
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ANNE SYLVESTRE : Ecrire pour ne pas mourir (Live)

PAROLES

Que je sois née d’hier ou d’avant le déluge
J’ai souvent l’impression de tout recommencer
Que j’aie pris ma revanche ou bien trouvé refuge
Dans mes chansons, toujours, j’ai voulu exister
Que vous sachiez de moi ce que j’en veux bien dire
Que vous soyez fidèles ou bien simple passant
Et que nous en soyons juste au premier sourire
Sachez ce qui, pour moi, est le plus important
Oui le plus important

Écrire pour ne pas mourir
Écrire, sagesse ou délire
Écrire pour tenter de dire
Dire tout ce qui m’a blessée
Dire tout ce qui m’a sauvée
Écrire et me débarrasser
Écrire pour ne pas sombrer
Écrire, au lieu de tournoyer
Écrire et ne jamais pleurer
Rien que des larmes de stylo
Qui viennent se changer en mots
Pour me tenir le cœur au chaud

Que je vive cent ans ou bien quelques décades
Je ne supporte pas de voir le temps passer
On arpente sa vie au pas de promenade
Et puis on s’aperçoit qu’il faudra se presser
Que vous soyez tranquille ou plein d’inquiétude
Ce que je vais vous dire, vous le comprendrez
En mettant bout à bout toutes nos solitudes
On pourrait se sentir un peu moins effrayé
Un peu moins effrayé

Écrire pour ne pas mourir
Écrire, tendresse ou plaisir
Écrire pour tenter de dire
Dire tout ce que j’ai compris
Dire l’amour et le mépris
Écrire, me sauver de l’oubli
Écrire pour tout raconter
Écrire au lieu de regretter
Écrire et ne rien oublier
Et même inventer quelques rêves
De ceux qui empêchent qu’on crève
Quand l’écriture, un jour, s’achève

Qu’on m’écoute en passant, d’une oreille distraite
Ou qu’on ait l’impression de trop me ressembler
Je voudrais que ces mots qui me sont une fête
On n’ se dépêche pas d’aller les oublier
Et que vous soyez critique ou plein de bienveillance
Je ne recherche pas toujours ce qui vous plaît
Quand je soigne mes mots, c’est à moi que je pense
Je veux me regarder sans honte et sans regrets
Sans honte et sans regrets

Écrire pour ne pas mourir
Écrire, grimace et sourire
Écrire et ne pas me dédire
Dire ce que je n’ai su faire
Dire pour ne pas me défaire
Écrire, habiller ma colère
Écrire pour être égoïste
Écrire ce qui me résiste
Écrire et ne pas vivre triste
Et me dissoudre dans les mots
Qu’ils soient ma joie et mon repos
Écrire et pas me foutre à l’eau

Et me dissoudre dans les mots
Qu’ils soient ma joie et mon repos
Écrire et pas me foutre à l’eau

Écrire pour ne pas mourir
Pour ne pas mourir

JEAN FERRAT-on ne voit pas le temps passer- Faut-il pleurer, faut-il en rire ? Fait-elle envie ou bien pitié ? Je n’ai pas le cœur à le dire On ne voit pas le temps passer

Jean Ferrat – On ne voit pas le temps passer

« On ne voit pas le temps passer » Paroles et musique de Jean Ferrat 2’16 / décembre 1965 (disques Barclay)

En 1965, je me mariais, cette chanson m’a fait réfléchir longtemps. Ma mère me conseillais de rester au foyer pour avoir la joie de voir grandir mes enfants disait-elle ; c,’était alléchant en effet, mais cette solution , rendait captive  la femme qui restait au foyer : en lui enlevant la faculté de subvenir à ses besoins, et à ceux de ses enfants, elle s’exposait à n’avoir plus voix au chapitre dans le couple. Mon père depuis toujours, me suggérait de conserver mon emploi. j’ai opté pour cette dernière solution : j’ ai cessé mon emploi durant deux ans pour profiter de ma fille, puis j’ai recommencé à travailler sachant ma fille en de bonnes mains puisqu’elle serait gardée par mes parents.

Pour en revenir à cette chanson, elle est criante de vérité, et incite les femmes à obtenir plus d’égalité au sein du couple.

 

Paroles de la chanson :

On se marie tôt, à vingt ans
Et l’on n’attend pas des années
Pour faire trois ou quatre enfants
Qui vous occupent vos journées
Entre les courses, la vaisselle
Entre ménage et déjeuner
Le monde peut battre de l’aile
On n’a pas le temps d’y penser
{Refrain:}
Faut-il pleurer, faut-il en rire ?
Fait-elle envie ou bien pitié ?
Je n’ai pas le cœur à le dire
On ne voit pas le temps passer
Une odeur de café qui fume
Et voilà tout son univers
Les enfants jouent, le mari fume
Les jours s’écoulent à l’envers
A peine voit-on ses enfants naître
Qu’il faut déjà les embrasser
Et l’on n’étend plus aux fenêtres
Qu’une jeunesse à repasser
{au Refrain}
Elle n’a vu dans les dimanches
Qu’un costume frais repassé
Quelques fleurs ou bien quelques branches
Décorant la salle à manger
Quand toute une vie se résume
En millions de pas dérisoires
Prise, comme marteau et enclume,
Entre une table et une armoire{au Refrain}

JEAN FERRAT –  » AU POINT DU JOUR  » La radio donne des nouvelles, quelque part la vie n’est pas belle………

    1. JEAN FERRAT  -

Jean Ferrat, Au point du jour (Barclay 1967

Encore un jour qui vient au monde dans le premiere moteur, qui gronde dans le premiere enfant, qui pleure j’ ecoute monter la rumeur….
Au Point Du Jour Video:

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Paroles de Au Point Du Jour

Encore un jour qui vient au monde
Dans le premier moteur qui gronde
Dans le premier enfant qui pleure
J’écoute monter la rumeur
Du point du jour
Quelqu’un efface la buée
Sur la vitre du boulanger
Les arbres sont tout détrempés
Déjà fument les cheminées
Au point du jour
Je vois ma rose s’éveiller
Ses yeux s’ouvrent sur l’oreiller
Ils regardent la fin d’un rêve
Et puis ma rose elle se lève
Au point du jour
Elle jette bas sa chemise
Elle est nue comme une cerise
Un rayon de soleil l’inonde
Elle est la plus belle du monde
Au point du jour La radio donne des nouvelles
Quelque part la vie n’est pas belle
Des bombes crient dans le lointain
Défense de voir le matin
Au point du jour Mon bonheur me fait un peu honte
Tandis que dans ma chambre monte
La bonne odeur de café noir
Encore un jour la vie l’espoir
Le point du jour

« le premier pas » CLAUDE-MICHEL SHÖENBERG – le fera-t-il ce premier pas ??….

    1. Bien que la tension monte chez CLAUDE-MICHEL SCHÖNBERG
      le fera -t-il ce premier pas  ??
      le dira-t-il ce premier mot  ??
      une passion aussi  vive devrait le décider à agir et qu’il n’oublie  surtout  pas que :

      L'homme propose, et la femme dispose.

      Or, maintenant, il est répandu dans la société que l’homme dispose de la femme à son gré, en la prenant de force.
      Où sont donc les bonnes manières d’antan …….,??

Claude Michel Schönberg – Le premier pas – 1974

 

LE PREMIER  PAS

Auteurs: Claude-michel Schonberg

Compositeurs: Claude-michel Schonberg

il signe le titre « Le Premier Pas » qui sera numéro 1 des ventes, avec un million d’exemplaires vendus, le tout produit par Franck POURCEL qui marquera là une longue collaboration puisque Franck produira six albums de Claude-Michel SCHOENBERG.

Le premier pas
J’aimerais qu’elle fasse le premier pas
Je sais, cela ne se fait pas
Pourtant j’aimerais que ce soit
elle qui vienne à moi
Car voyez vous je n’ose pas
Rechercher la manière
De la voir, de lui plaire
L’approcher lui parler
Et ne pas la brusquer
Lui dire des mots d’amour
Sans savoir en retour
Si elle aimera
Ou refusera ce premier pas
Le premier pas
J’aimerais qu’elle fasse le premier pas
On peut s’attendre longtemps comme ça
On peut rester des années à se contempler
Et vivre chacun de son coté
Je la rencontrerai Au bas de l’escalier
Puis comme tous les jours
Elle me dira bonjour
Seulement cette fois
Elle me prendra le bras
Me conduira dans sa maison
Ou nous ferons
Le premier pas d’amour
Dans son lit jour après jour
Elle me dévoilera son corps
Me donnera tous les remords
De n’avoir pas dit plus tôt
Le premier mot
Le premier mot
J’aimerais qu’elle dise le premier mot
La nuit j’en rêve et c’est idiot
Si elle voulait
Seulement me faire signe tout bas
Alors je ferais, je le crois
Le premier pas.

.NICOLAS PEYRAC – Il suffirait d’une colombe D’un peu de tendresse oubliée D’un retard de quelques secondes Dans le cours de l’éternité….

    1. Nicolas Peyrac

      Description de cette image, également commentée ci-après

      Nicolas Peyrac à Rennes, 14 octobre 2013.

      Informations générales 
      Surnom Nicolas Peyrac
      Nom de naissance Jean-Jacques Tazartez
      Naissance 6 octobre 1949 (65 ans)
      Paris, Drapeau de la France France
      Activité principale Auteur-compositeur-interprète, romancier
      Genre musical Variété française
      Instruments Guitare, claviers
      Années actives Depuis 1974
      Site officiel nicolaspeyrac.com
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      Nicolas PEYRAC-Il suffirait

      • 44 455 vues
      Nicolas PEYRAC-Il suffirait -1976 de l’album « Quand pleure la petite fille  » 5ème chanson de la face B.
      Paroles de   » Il Suffirait « 
      Il suffirait d’une colombe
      D’un peu de tendresse oubliée
      D’un retard de quelques secondes
      Dans le cours de l’éternité
      Il suffirait que Dieu le père
      Celui qui se fait tant prier
      Retombe amoureux de la Terre
      Comme Adam devant le pommierIl suffirait qu’une rivière
      Décide un beau jour pour changer
      De se promener solitaire
      Dans la rivière d’à côté
      Il suffirait que tu me dises
      Ce serait folie d’essayer
      Pour que je fasse la bêtise
      De crier à l’Humanité
      REFRAIN
      L’amour pourrait changer le monde
      Ne sois jamais désenchanté
      Quand l’aigle épouse la colombe
      La Terre se remet à tourner
      Les hommes pourraient changer le monde
      Il ne suffit pas de prier
      Quand l’aigle épouse la colombe
      C’est que tout peut recommencer
      Il suffirait que tu reviennes
      Planter le maïs et le blé
      Que ta main étreigne la mienne
      Comme l’amitié retrouvée
      Il suffirait que tu la chantes
      Celle qu’on nomme liberté
      Pour que peu à peu tu inventes
      Les mots qu’on voudrait oublier
      Refrain
      L’amour pourrait changer le monde
      Ne sois jamais désenchanté
      Quand l’aigle épouse la colombe
      La Terre se remet à tourner
      Les hommes pourraient changer le monde
      Il ne suffit pas de prier
      Quand l’aigle épouse la colombe
      C’est que tout peut recommencer
      Il suffirait d’une colombe
      D’un peu de sagesse oubliée
      D’un pardon de quelques secondes
      D’une blessure refermée
      Il suffirait de peu de choses
      Bien peu de choses en vérité
      Pour que les paupières mi closes
      Demain tu m’écoutes chanter
      Refrain
      L’amour pourrait changer le monde
      Ne sois jamais désenchanté
      Quand l’aigle épouse la colombe
      La Terre se remet à tourner
      Les hommes pourraient changer le monde
      Il ne suffit pas de prier
      Quand l’aigle épouse la colombe
      C’est que tout peut recommencer
      .NICOLAS PEYRAC - Il suffirait d'une colombe D'un peu de tendresse oubliée D'un retard de quelques secondes Dans le cours de l'éternité.... dans chansons mqdefault

nicolas peyrac – il y aurait du soleil

De retour avec un album de duos et un livre, Nicolas Peyrac se confie à nos confrères de Gala, et raconte son combat contre la leucémie, les malheurs passés, et la rencontre avec sa femme, qui l’a sauvé.

A l’occasion de son grand retour, Nicolas Peyrac se livre sans retenue. Le chanteur, qui publie un livre,  parle sans détour de son combat contre la leucémie, qui donne son titre au livre. Dans Gala, en kiosques aujourd’hui, le chanteur de 64 ans explique : « Ce 21 mars, mon frère médecin m’a annoncé (que j’avais la leucémie). Je n’y ai d’abord pas cru. J’ai eu du mal à respirer (…) En trois secondes, mon histoire a basculé ».

Car la maladie n’est pas inconnue dans la famille. En effet, Nicolas Peyrac a perdu sa mère d’une leucémie en 1977. Une période difficile pour lui qui était en train de divorcer.

Le sexisme des politiques – Marie-José NEUVILLE LE BRASSENS de la chanson

    1. Un homme est un  homme, les politiques comme certains autres hommes se comportent mal. En ayant des gestes déplacés vis à vis des femmes, ils pensent prouver qu’ils leurs sont supérieurs, alors qu’ils prouvent seulement leur mauvaise éducation !!
    1. Le sexisme des politiques - Marie-José NEUVILLE LE BRASSENS de la chanson dans chansons mqdefault

jean-jacques GOLDMAN-là-bas-Tout est neuf et tout est sauvage Libre continent sans grillage Ici, nos rêves sont étroits C’est pour ça que j’irais là-bas Là-bas

SIRIMA EST ALLEE LA- BAS, POUR SE FAIRE TUER…...PAR UN FOU QUI NE PENSAIT QU’A LA  REUSSITE, QU’A L’AMBITION

QU’A  L’ARGENT.

 

jean-jacques GOLDMAN-là-bas-Tout est neuf et tout est sauvage Libre continent sans grillage Ici, nos rêves sont étroits C'est pour ça que j'irais là-bas  Là-bas dans chansons mqdefault

Là-bas

Tout est neuf et tout est sauvage
Libre continent sans grillage
Ici, nos rêves sont étroits
C’est pour ça que j’irais là-bas

Là-bas
Faut du coeur et faut du courage
Mais tout est possible à mon âge
Si tu as la force et la foi
L’or est à portée de tes doigts
C’est pour ça que j’irais là-bas

N’y va pas
Y’a des tempêtes et des naufrages
Le feu, les diables et les mirages
Je te sais si fragile parfois
Reste au creux de moi

On a tant d’amour à faire
Tant de bonheur à venir
Je te veux mari et père
Et toi, tu rêves de partir

Ici, tout est joué d’avance
Et l’on n’y peut rien changer
Tout dépend de ta naissance
Et moi je ne suis pas bien né

Là-bas
Loin de nos vies, de nos villages
J’oublierai ta voix, ton visage
J’ai beau te serrer dans mes bras
Tu m’échappes déjà

Là-bas
J’aurai ma chance, j’aurai mes droits
N’y va pas
Et la fierté qu’ici je n’ai pas
Là-bas
Tout ce que tu mérites est à toi
N’y va pas
Ici, les autres imposent leur loi
Là-bas

Je te perdrai peut-être là-bas
N’y va pas
Je me perds si je reste là
Là-bas
La vie ne m’as pas laissé le choix
N’y va pas
Toi et moi, ce sera là-bas ou pas
Là-bas
Tout est neuf et tout est sauvage
N’y va pas
Libre continent sans grillage
Là-bas
Beau comme on n’imagine pas
N’y va pas
Ici, même nos rêves sont étroits
Là-bas
C’est pour ça que j’irais là-bas
N’y va pas
On ne m’a pas laissé le choix
Là-bas
Je me perds si je reste là
N’y va pas
C’est pour ça que j’irais là-bas

N’y va pas…

[ Ces sont Là-bas Paroles sur http://www.parolesmania.com/ ]

 

Sirima

Biographie de SIRIMA :

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52ème
SIRIMA
1964 – 1989
Découvrez la biographie de SIRIMA
Score : 18 841
artiste, Chanteuse et Musicienne (Anglaise)
ANée le 14 février 1964
Décédée le 07 décembre 1989 (à l’âge de 25 ans)
Sirima est une chanteuse née le 14 février 1964 à Isleworth, dans le comté de Middlesex (Grande-Bretagne), et morte assassinée le 7 décembre 1989 par son compagnon. Elle interpréta en duo avec Jean-Jacques Goldman le titre Là-bas.De mère française et de père sri-lankais, Sirima vécut son enfance au Sri-Lanka et son adolescence en Angleterre.

De 1982 à 1987, elle chanta dans le métro. En 1986, elle fut remarquée par Philippe Delettrez (saxophoniste, compositeur, producteur…), alors musicien de Jean-Jacques Goldman. Celui-ci, qui venait d’écrire Là-bas, recherchait une interprète féminine pour ce duo.

Ayant écouté un enregistrement de sa voix, Jean-Jacques Goldman rencontra Sirima près de la station de métro du Châtelet, où elle chantait, et le personnage lui plut. Il lui fit faire un essai puis l’engagea.

Sirima était âgée de 23 ans quand sortit Là-bas, qui connut un succès commercial important. Elle fut cependant peu présente lors de la tournée de Jean-Jacques Goldman, travaillant sur un autre projet.

Sirima vivait une relation tumultueuse avec Kahatra Sasorith, musicien sans succès. Jaloux de sa célébrité naissante, Kahatra assassina Sirima à coups de couteau le 7 décembre 1989, moins de trois semaines après la sortie de A part of me.

Là-Bas, le duo Sirima & Jean-Jacques Goldman au Bac de Français 2013 !

 

FRANCE GALL – Cezanne peint -

    1. FRANCE GALL - Cezanne peint - dans chansons mqdefault

Cezanne peint

differents tableaux de Paul Césanne paysages d’Auvers sur Oise, environs d’Aix en Provence, la Montagne Ste Victoire…
CEZANNE PEINT
Silence les grillons
Sur les branches immobiles
Les arbres font des rayons
Et des ombres subtiles
Silence dans la maison
Silence sur la colline
Ces parfums qu’on devine
C’est l’odeur de saison
Mais voilà l’homme
Sous son chapeau de paille
Des taches plein sa blouse
Et sa barbe en bataille Cézanne peint
Il laisse s’accomplir la magie de ses mains
Cézanne peint
Et il éclaire le monde pour nos yeux qui n’voient rien
Si le bonheur existe
C’est une épreuve d’artiste
Cézanne le sait bien Vibre la lumière

Chantez les couleurs
Il y met sa vie
Le bruit de son cœur
Et comme un bateau
Porté par sa voile
Doucement le pinceau
Glisse sur la toile
Et voilà l’homme
Qui croise avec ses yeux
Le temps d’un éclair
Le regard des dieux

Cézanne peint
Il laisse s’accomplir le prodige de ses mains
Cézanne peint
Et il éclaire le monde pour nos yeux qui n’voient rien
Si le bonheur existe
C’est une épreuve d’artiste
Cézanne le sait bien
Quand Cézanne peint
Cézanne peint…

Michel Jonasz- les vacances au bord de la mer – Dites-moi chanté avec Véronique Sanson

    1.  MICHEL JONASZ nous enchante avec sa voix mélodieuse, et ses
      chansons pleines de nostalgie
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      Véronique Sanson et Michel Jonasz « Dites-moi » (live officiel) – Archive INA

2 octobre 1979 Véronique SANSON chante et joue au piano « Dites-moi », en duo avec Michel JONASZ. Émissions TV, Archive tv, …

  • Source officielle

DITES-MOI

Elle avait toujours
Dans son porte-monnaie
L’île au trésor
Et des pièces de un franc usées
Un pinceau de poil de martre
Pour mettre des rideaux bleus
Aux fenêtres de ses yeux
Aux fenêtres de ses yeux

Un livre à la main sur le balcon
Elle s’endormait dans un vieux fauteuil de Manille
Je cherchais des prénoms Mathieu, Cécile
En regardant courir vers dix heures
Dans l’école des filles et des garçons

Dites-moi
Dites-moi même qu’elle est partie pour un autre que moi
Mais pas à cause de moi
Dites-moi ça
Dites-moi ça
Dites-moi
Dites-moi même qu’elle est partie pour un autre que moi

Dans mon cœur vaudou
Il y a quatre épingles
Qu’elle a pris soin d’abandonner pour que je pleure
J’ai cloué ma porte qu’est-ce-qui m’a pris
J’ai brisé le miroir où elle faisait ses tresses
Mis du papier journal sous les fenêtres
J’entendais de l’école trop de cris
Il n’est rien né de notre lit

Dites-moi
Dites-moi même qu’elle est partie pour un autre que moi
Mais pas à cause de moi
Dites-moi ça
Dites-moi ça
Dites-moi
Dites-moi même qu’elle est partie pour un autre que moi
Mais pas à cause de moi
Dites moi ça
Dites moi ça

    1. Michel Jonasz- les vacances au bord de la mer - Dites-moi chanté avec Véronique Sanson dans chansons mqdefault

Michel Jonasz Les Vacances au bord de la Mer

Michel Jonasz Les Vacances au bord de la Mer.
On allait au bord de la mer
Avec mon père, ma sœur, ma mère
On regardait les autres gens
Comme ils dépensaient leur argent
Nous il fallait faire attention
Quand on avait payé le prix d’une location
Il ne nous restait pas grand-chose Alors on regardait les bateaux
On suçait des glaces à l’eau
Les palaces, les restaurants
On ne faisait que passer d’vant
Et on regardait les bateaux
Le matin on se réveillait tôt
Sur la plage pendant des heures On prenait de belles couleurs On allait au bord de la mer
Avec mon père, ma sœur, ma mère
Et quand les vagues étaient tranquilles
On passait la journée aux îles
Sauf quand on pouvait déjà plus Alors on regardait les bateaux
On suçait des glaces à l’eau
On avait le cœur un peu gros
Mais c’était quand même beau On regardait les bateaux
La la la la la…
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