PAUL GAUGUIN
Eugène Henri Paul Gauguin est né à Paris en 1848. Son père est Clovis Louis Pierre Guillaume Gauguin (1814-1851), un journaliste républicain au National1. Sa mère, Aline Chazal (1825-1867), était la fille de Flora Tristan et donc, selon certains auteurs, la petite-fille de Simón Bolívar et de Thérèse Laisnay. Elle descendait de propriétaires terriens espagnols d’Amérique du Sud et même, selon la légende, d’un vice-roi du Pérou1.
L’ENFANCE
Posté dans 13 octobre, 2010 dans societe.
Dans notre Société stressée, on oblige les enfants a traverser leur enfance au pas de course : Il ne faudrait pas qu’ils perturbent trop longtemps la vie de leurs parents .
Tout petit, on lui apprend à boire son biberon tout seul, en calant celui-ci sur l’oreiller, puis quelques mois plus tard, on exige de lui qu’il soit propre, qu’il parle, qu’il se conduise comme un grand
puis vers deux ans, il va à la maternelle pour déjà apprendre la vie en collectivité, on lui demande de s’enrôler dans un système où il ne developpera pas les dons qu’il peut avoir en lui. On lui demandera seulement de se fondre dans le groupe, de raisonner comme le groupe, Sortir du lot, ce sera difficile, on ne lui demande pas de penser, on l’incite à suivre le mouvement un point c’est tout. eu égard à la maitresse qui a bien de la patience !
Puis il y aura l’école primaire où curieusement, on lui donnera la liberté d’agir à sa guise en faisant fi des règles établies : il ne veut pas lire, il ne lira pas, il ne veut pas écrire, il n’écrira pas, il ne veut pas compter, il ne comptera pas, on ne lui demandera même pas de se taire par solidarité pour ceux qui veulent travailler. On ne lui donne aucune limite, aucun sens à ce qu’il vit à l’école. Bientôt il s’ennuie, et devient turbulent, on ne peut plus l’arrêter dans son délire. Il exige le pouvoir de se comporter comme les adultes, sur tous les plans.
Enfin, arrive le lycée, ou l’on accepte en vrac, ceux qui ont quand même appris quelque chose et ceux qui ne savent rien. Et là c’est la débandade, la vulgarité, le laisser aller, la violence non réprimée. On se demande pourquoi maintenir ces fauves dans le zoo : ils seraient sans doute mieux dans la jungle ! (sic la chanson de j. ferrat).
Puis cette faune se déchaine, et crée des émeutes, sitôt que quelque chose les indispose. Ce ne sont déjà plus des enfants, et pourtant ils se comportent comme des irresponsables, comme des sales gosses !
A trop vouloir faire progresser l’enfant rapidement, il devient sérieux dans un premier temps, pour subitement régresser, et revenir au stade premier, où il est irrécupérable !
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